1996
En 1996, quelques mois après le public US (d’où le « 95 » qui habille la carrosserie du bolide Flash McQueen dans Cars), le public français découvre, ébahi, les aventures de Buzz, Woody et leurs amis les jouets. Au-delà d’être le tout premier long métrage d’animation entièrement généré en images de synthèse, Toy Story impose d’emblée la patte Pixar : utiliser l’ordinateur et les dernières avancées technologiques pour raconter les plus belles histoires. Avec des personnages incontournables et toujours la même philosophie : « Less is more ». La lampe sautillante Luxo Jr., qui ouvre tous leurs films, entre immédiatement au panthéon de la pop culture.
Et les succès s’enchaînent, de Monstres & Cie à Alerte rouge en passant par Le Monde de Nemo, Les Indestructibles, Ratatouille, WALL-E, Là-haut, Vice Versa ou Coco. Jusqu’aux Elémentaires, accueillis cette année 2023 en clôture de Cannes. Tout part de Toy Story, qui fait assurément partie de ces œuvres qui ont eu un avant et un après.
Un air de famille vu par Jérôme Commandeur
La scène du collier de chien. Cette scène me fait hurler de rire ! C’est le désespoir que peuvent représenter certaines réunions de famille. Et ça je crois que ça parle à 99,99% des gens.
422
Le nombre de « F-word » lancés dans Casino par Robert de Niro et Joe Pesci devant la caméra de Martin Scorsese. Plus fort que les 300 fuck des Affranchis !
Heat, les coulisses d’une fusillade d’anthologie
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Le Caméléon
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Seven de David FincherSpectateurs
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Le Tombeau des lucioles de Isao TakahataSpectateurs
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Casino de Martin ScorseseSpectateurs
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